Lorsqu’une entreprise développe un nouvel ingrédient, qu’il s’agisse d’un extrait végétal concentré, d’un ferment issu de biotechnologie, d’une algue transformée ou encore d’un champignon « fonctionnel », une question revient systématiquement : faut-il passer par une procédure Novel Food avant de commercialiser l’ingrédient au sein de l’UE ?
Cette interrogation arrive souvent au moment où le projet est déjà bien avancé